lundi 23 novembre 2009

Arrivant du Brésil, j'entends, avec un peu de retard, de graves dissonances.
Sans doute un écrivain marqué par le prix Goncourt devrait-il, pour un député épris de ce qu'il nomme 'modération' ou 'réserve', savoir chanter notre nouvel Hymne à l'Identité nationale, qui sera bientôt en voie d'être entonné dans les écoles.
Heureusement, Marie N'Diaye a l'oreille trop fine pour ce fracas, et nous préférons de beaucoup la musique de son écriture.
Jean-Pierre Faye
président de l'Union des Ecrivains

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